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Presse
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La SGF fait le point sur sa participation au Forum de Davos
Le président-directeur général de la Société générale de financement du Québec (SGF) au Forum économique mondial de Davos
Le 36e Forum économique mondial s’est clos le 28 janvier 2007 à Davos, après cinq jours de discussion entre quelque 2 500 de plus importants leaders politiques, dirigeants d’entreprises multinationales et universitaires de la planète. Le P.D.G. de la SGF, Monsieur Pierre Shedleur, a pris part à la mission québécoise en compagnie du ministre du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation, Monsieur Raymond Bachand, du président-directeur général d’Investissement Québec, Monsieur Jacques Daoust, du président et Chef de la direction de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Monsieur Henri-Paul Rousseau et le président du Conseil d’Hydro-Québec, Monsieur Michael Turcotte.
Trois grands thèmes discutés à Davos qui façonneront l’économie québécoise et mondiale au cours des prochaines années ont particulièrement suscité l’intérêt du P.D.G. de la SGF :
L’environnement
Il s’agit d’une préoccupation majeure des chefs d’entreprises présents à Davos, notamment en raison du schisme entre les pays signataires du protocole de Kyoto et ceux qui n’y adhèrent pas. Aux États-Unis, par exemple, bien que des efforts pour réduire les émissions de gaz à effet de serre aient été entrepris, les Américains sont préoccupés par le fait que les mêmes normes ne soient pas imposées à certains pays en développement accéléré, comme la Chine.
La productivité
Accroître la productivité est le meilleur, sinon le seul moyen, pour poursuivre le développement et la diversification de l’économie québécoise au cours de la prochaine décennie. Il s’agit d’un enjeu majeur pour tous les pays industrialisés, notamment en raison de la situation démographique de plus en plus préoccupante. D’autres régions du globe, par exemple les économies émergentes d’Amérique latine, voient l’augmentation de leur productivité comme un moyen de transformer leur économie actuellement basée sur une main-d’œuvre bon marché.
Les technologies
Un thème lié aux deux précédents, investir dans les nouvelles technologies devrait aider, d’une part, à soutenir les efforts mis de l’avant pour réduire la pollution industrielle et, d’autre part, à accroître la productivité des entreprises.
En conclusion, selon M. Shedleur, « les entreprises du Québec font également face à ces défis dans une économie mondiale en mutation accélérée. Elles doivent tirer profit des occasions qui s’y présentent et pour ce faire, la SGF a les compétences et les outils nécessaires pour les soutenir. »
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