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LA SGF : QUATRE ANNÉES D’INVESTISSEMENTS ET DE CRÉATION D’EMPLOIS

7,5 milliards de dollars investis en quatre ans,       43 000 emplois créés

Montréal, 22 mai 2002 - Le rapport annuel de la Société générale de financement du Québec a été déposé aujourd’hui à l’Assemblée nationale du Québec par le premier ministre, monsieur Bernard Landry. « En 2001, a déclaré le président de la SGF monsieur Claude Blanchet, nous avons investi 579 millions de dollars en fonds propres qui ont entraîné des investissements de 3,1 milliards de dollars en partenariat avec le secteur privé correspondant à 41 nouveaux projets de développement.» Il s’agit d’une augmentation de 25 % par rapport à 2000. En terme d’emplois, ces projets génèreront la création de 5 800 emplois en phase d’exploitation et 8 300 emplois équivalents année-personne lors de leur phase de construction et d’implantation.


 

Vers l’aboutissement du plan quinquennal de développement

 

« De 1998 à 2001, a expliqué monsieur Blanchet, la Société a réalisé en partenariat, 178 projets d’une valeur totale de 7,5 milliards de dollars, soit l’équivalent de 30 % des dépenses d’immobilisations du secteur manufacturier québécois. Ce sont aussi 57 partenaires internationaux répartis sur quatre continents qui exploitent des entreprises situées au Québec et qui visent principalement le marché américain.»

 

Plus de 43 000 emplois directs, indirects et de construction ont été ainsi créés contribuant de façon significative à la vigueur de l’économie du Québec. L’effet de ces nouveaux projets sur la main-d’œuvre est également significatif, particulièrement en ce qui a trait à la qualité des emplois créés, 94 % de ceux-ci étant liés aux industries de moyen ou haut savoir. Ces réalisations confirment de façon claire et non équivoque la pertinence et l’efficacité de l’actuel plan quinquennal.


 

Le rendement

 

« En 2001, a poursuivi le président de la Société, le rendement annuel de la SGF, établi à la valeur comptable des placements, est de –4,1 %. Toutefois, à la juste valeur marchande des participations de la SGF dans des sociétés publiques, il grimpe à 4,1 % pour l’année.»

 

Dans le cadre de son plan quinquennal, la SGF s’était engagée auprès de l’actionnaire de la Société, en l’occurrence le gouvernement du Québec, à maintenir sur cinq ans un rendement supérieur à ses coûts d’emprunt. Au terme de ces cinq années, le rendement réalisé selon la valeur comptable est de 5,4 %, et de 6,3 % à la juste valeur marchande, alors que les coûts pour l’actionnaire sont de 4,9 %. La Société réitère le même engagement pour l’avenir, afin que ses résultats n’exercent aucune pression négative sur le bilan du gouvernement du Québec.

 

Pour réaliser son ambitieux plan de développement d’investir 10 milliards de dollars dans l’économie québécoise en cinq ans, la SGF a dû engager d’importantes sommes qui ne produiront un rendement que dans quelques années. Ainsi, les grands projets comme Interquisa Canada, Circuit Foil America ou Magnola notamment, ont nécessité des mises de fonds de 698 millions de dollars, soit 30 % des capitaux propres de la SGF. En phase de construction, ces projets ne peuvent rapporter de profits puisqu’ils ne sont pas en production. Il est même prévu qu’ils généreront, sauf exception, des pertes dans leurs premières années d’exploitation. Ce n’est donc que lorsque ces nouvelles entreprises atteindront leur vitesse de croisière qu’elles commenceront à générer des bénéfices. Dès lors, si l’on ajoute les projets de 2001, soit Gaspésia, Kruger Wayagamack, on ne peut que constater la forte pression exercée sur la rentabilité à court terme de la SGF.

 

« Pour bien évaluer l’impact de nos interventions, a ajouté monsieur Blanchet, il faut le faire sur une longue période, ce qui se compare tout à fait à l’évolution normale des rendements du secteur privé.»


 

Impacts sur l’économie québécoise

 

« La mission même de la SGF, a rappelé monsieur Blanchet, exige que ses investissements aient un impact positif sur l’augmentation du PIB du Québec, et je suis particulièrement heureux des résultats que nous pouvons constater à cet égard.»

 

En effet, les 43 000 emplois directs et indirects créés par les investissements de la SGF avec ses partenaires privés représentent 15 % des emplois créés en moyenne au Québec durant cette période. Cet apport représente l’équivalent d’un ajout de 0,3 % au taux annuel moyen de croissance de l’emploi qui a été de 2,1 % et qui se serait situé à 1,8 % sans l’apport de la SGF.

 

La Société peut également se réjouir de l’impact de ses investissements sur la valeur même du produit intérieur brut (PIB) du Québec. Ces derniers ont permis d’accroître le PIB québécois de 4,8 milliards de dollars au cours des quatre dernières années, ce qui représente l’équivalent d’une augmentation annuelle moyenne du PIB de 0,6 % au cours de cette période.


 

Le développement économique régional

 

« La présence des investissements de la SGF dans les diverses régions du Québec, a noté le président de la Société, s’est raffermie nettement depuis les quatre dernières années, puisque 118 de nos investissements sur les 173 se sont réalisés en-dehors de Montréal, soit 68 %.» Par ailleurs, 12 investissements multi-régions représentant 1,3 milliard de dollars ont généré des retombées sur l’ensemble du territoire québécois (Domtar, Saputo, etc.).

 

Sur les 43 000 emplois créés en quatre ans, 23 700 l’auront été en région, quant aux sommes investies, soit les 7,5 milliards de dollars, autour de 4 milliards seront allés dans les régions du Québec.

 

Un nouveau plan de développement

 

« À la fin de 2002, a noté monsieur Blanchet, nous aurons atteint les objectifs que nous nous étions fixés lors du dépôt du plan quinquennal auprès du gouvernement. Nous venons de déposer au premier ministre un nouveau plan quinquennal que le gouvernement est entrain d’examiner. Dès cet automne nous devrions savoir ce qu’il en est.»

 

La SGF vient de s’engager dans un processus accéléré de développement régional en association, avec le ministère des Régions, des entrepreneurs privés et des organismes dédiés au développement économique. « Nous visons, a conclu monsieur Blanchet , en concertation avec le milieu, à construire, là où cela est nécessaire, un système productif régional compétitif sur les plans nord-américain et mondial. »


 

La mission de la SGF est de mettre en œuvre des projets de développement économique en coopération avec des partenaires et dans des conditions de rentabilité normale. Au 31 décembre 2001, l’actif consolidé de la SGF dépassait les 3 milliards de dollars. La SGF compte 57 partenaires internationaux exploitant des établissements au Québec. (sgfqc.com)

 

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Source :

Jean-Yves Duthel
Vice-président
Communications, relations publiques et internationales

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